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Solidarité

Leur rendre leur dignité, voilà ce que Mark Bustos espère faire en se rendant tous les dimanches dans les rues de New York et d’ailleurs pour y coiffer les SDF. Une histoire touchante qui nous prouve que chacun peut agir à son échelle pour aider son prochain. Depuis près de deux ans, Mark Bustos a une activité dominicale très particulière… En savoir +

 

 

Donner c’est Aimer ! Narayanan Krishnan

lL avait un bon job, mais il ne pouvait plus voir les gens ainsi souffrir dans la rue. Il a arrêté son job et il a commencer à leur donner
à manger puis aussi à les aimer, ce qu’il appelle de la nourriture spirituelle.

A la fin il conclut : donne et ressens le bonheur que c’est de donner. C’est juste magnifique.

Ouvert depuis le 16 avril dernier, le restaurant Manger a bel et bien l’intention de révolutionner le monde culinaire grâce à un concept fort, solidaire et réunissant quelques-uns des grands chefs de notre époque.« Le Restaurant solidaire qui unit les grands chefs en faveur de l’emploi » : c’est ainsi que se décrit Manger, le nouveau restaurant de la rue Keller, installé dans le célèbre quartier de Bastille, à Paris, depuis le 16 avril dernier.Imaginé par Thierry Monassier, ce nouveau lieu a ainsi eu l’idée de collaborer avec l’association Toques et Partage, en embauchant des personnes en situation d’exclusion professionnelle. Et Manger va encore plus loin en reversant 10 % de l’addition à cette association.En plus d’être solidaire, ce restaurant se veut également gourmand grâce au chef William Pradeleix (Connaught, Londres). A la carte ? Encornet farci, Truite de banka, côté poissons ou bien pièce de bœuf black angus mais aussi épaule d’agneau de lait, pour les carnivores.Et cerise sur le gâteau puisque le restaurant Manger propose d’agrémenter sa carte avec le « dîner des chefs » ! Le 15 mai dernier, les clients ont ainsi eu le choix de déguster les spécialités de Michel Trama, parrain de l’association mais aussi de Pierre Gagnaire, Yannick Alléno, David Toutain et Christophe Michalak ; le tout dans une décoration moderne imaginée par Marie Deroudilhe.

Restez connectés pour connaître les prochains rendez-vous du Dîner des chefs (55 € le menu). N’hésitez pas non plus à surfer sur la Page Facebook du restaurant. Bref, si vous souhaitez manger bon et solidaire, vous savez désormais où vous rendre !

Infos pratiques :
Manger
24, ue Keller, 75011 Paris
Ouvert du mardi au samedi de 12h00 à 14h30 et de 19h30 à 22h30
Dîner des chefs à 55 € et uniquement sur réservation

 

Manger local créerait 600 000 emplois

Terre de Liens Normandie lance « Le Convertisseur alimentaire »

Ce calculateur permet d’évaluer le nombre possible de nouveaux paysans si l’on passait à une politique d’alimentation produite localement.

Et si on décidait de protéger la terre agricole par notre alimentation ?

« Depuis 2003, Terre de Liens a accompagné (ou est en cours de finaliser) l’installation ou la consolidation de l’activité de 140 fermiers au travers de 87 fermes acquises (ou en voie de l’être) représentant 2 744 ha de terres protégées par un Bail Rural Environnemental, avec 52 maisons et 189 bâtiments grâce à l’utilisation de 20,1 M € d’investissements solidaires. (…) C’est la preuve que des citoyens et citoyennes solidaires peuvent contribuer à la création d’emplois agricoles de proximité. C’est la preuve que nous pouvons faire de ce que certains appellent « des contraintes environnementales », un atout à l’origine d’une richesse protectrice des terres agricoles grâce à la généralisation de l’agriculture biologique et paysanne.  »

Texte du site : http://convertisseur.terredeliensnormandie.org

On pourrait décider de se rendre solidaires des paysans et paysannes (qui souhaitent explorer et construire un véritable développement alimentaire soutenable…) en généralisant le commerce alimentaire équitable de proximité; un commerce qui permette à cette profession (et aux activités qui lui sont liées) de retrouver une vraie autonomie face à des marchés mondiaux dont ils ne maîtriseront probablement jamais la régulation.

Et si on développait notre citoyenneté économique créatrice d’emplois, partout, maintenant, pour montrer qu’elle est bien plus qu’un concept mais bien un acte probant, qui montre aux dirigeants de tous nos territoires et de tous bords politiques les voies possibles pour une économie agricole et alimentaire réellement soutenable, qui conteste aussi, en actes, le manque de légitimité sociale de l’actuelle PAC alors qu’une autre PAC est possible

-1 187 847 : c’est le nombre (minimum !…) de paysans et paysannes (installé-e-s en bio) que nous devrions avoir en France (contre moins de 500 000 actuellement…) si tout le monde mangeait local.

-22 963 759 : c’est le nombre d’hectares de Surface Agricole Utile (SAU) que nous pouvons protéger de nombreux mésusages grâce aux nouvelle Dynamiques de Développement Économique par l’Alimentation Locale (new-DDEAL…).

Ce sont également autant de terres agricoles soustraites à la compétition économique alimentaire mondiale qui ruine les possibilités d’auto-développement et de souveraineté alimentaire des pays « dits » non ou peu développés.

-17 193 800 : c’est le nombre d’hectares de SAU nécessaires pour se nourrir localement si nous faisons évoluer notre régime alimentaire en diminuant notre consommation de viande rouge au profit de la viande blanche et des protéines végétales.

-5 769 959 : c’est la surface agricole que cette évolution progressive vers un régime alimentaire moins carné pourrait dégager ; autant de terres agricoles que nous pourrions alors destiner aux autres fonctions « économiques » (se loger, se vêtir, se chauffer, etc.). Celles dans lesquelles il nous faut investir et innover pour réaliser la nécessaire transition agricole telle que la dessinent certains scénarios d’alter-développement comme Afterre 2050.

Terre de Liens Normandie vous invite donc à calculer le nombre de paysans que vous pouvez soutenir et installer près de chez vous et à passer à l’action solidaire et écologiquement responsable ici et maintenant.

Source : Convertisseur Terre de Liens Normandie

Ecouter par ailleurs : Qu’est-ce que Terre de Liens ?

Endoriot


Coffee for the less fortunate

This story will warm you better than a coffee in a cold winter day !

We enter a little coffeehouse with a friend of mine and give our order. While we’re aproaching our table two people come in and they go to the counter :
‘Five coffees, please. Two of them for us and three suspended’
They pay for their order, take the two and leave. I ask my friend:
‘What are those ‘suspended’ coffees ?’
‘Wait for it and you will see’
Some more people enter. Two girls ask for one coffee each, pay and go. The next order was for seven coffees and it was made by three lawyers – three for them and four ‘suspended’. While I still wonder what’s the deal with those ‘suspended’ coffees I enjoy the sunny weather and the beautiful view towards the square infront of the café. Suddenly a man dressed in shabby clothes who looks like a beggar comes in throught the door and kindly asks
‘Do you have a suspended coffee ?’

It’s simple – people pay in advance for a coffee meant for someone who can not afford a warm bevarage. The tradition with the suspended coffees started in Naples, but it has spread all over the world and in some places you can order not only a suspended coffee, but also a sandwich or a whole meal.

Wouldn’t it be wonderful to have such cafés or even grocery stores in every town where the less fortunate will find hope and support ?
If you own a business why don’t you offer it to your clients…I am sure many of them will like it 🙂

Le projet : En quoi consiste votre projet ?

Nous sommes une association caritative nommée « Les ateliers du coeur ». Nous avons un projet de relogement écologique de construction de petits chalets en bois de 20M2 autonomes en énergie pour des personnes en difficulté de vie et de logement. Voici le lien du projet https://www.untoitpourtoi.org/ ainsi que le lien de l’album www.noussommes.net

Nous avons organisé deux concerts caritatifs avec Michael Jones et Gérard Palaprat (parrain du projet) qui nous ont rapporté 6.000 euros. Nous devons pour fabriquer les chalets acheter une raboteuse 4 faces d’un montant de 14.000 euros. Pour ce faire et récolter les fonds nécessaires pour l’achat de cette machine, nous réalisons un album intitulé « Nous sommes » partagé par des artistes de tous horizons, Désireless, Michael Jones, Gérard Palaprat, Gilles Dorléac et beaucoup d’autres de talent en faveur de notre projet www.untoitpourtoi.net

Le financement: Pourquoi avez-vous besoin de soutien ?

Pour l’achat de matériel, en l’occurrence une raboteuse 4 faces qui nous servira à fabriquer les chalets destinés à accueillir des personnes en difficulté de vie et de logement

www.logosol.fr/raboteuses/logosol-ph360

L’auteur : Qui est derrière ce projet ?

Une association caritative située en Alsace dans le Haut-Rhin.

Des artistes nous soutiennent, Désireless, Michael Jones, Gérard Palaprat, Gilles Dorléac, Zara Whites, et bien d’autres de talent.

Publié le jeudi 11 octobre 2012 en Alsace dans Humanitaire

Lundi 7 octobre 2012, l’Agence Alsace Lorraine ouvrait les portes du premier restaurant social de la Fondation, destiné à offrir une restauration à tous ceux qui ne peuvent se nourrir. 09/10/2012

Prendre un repas chaud et avoir le choix d’une entrée, d’un plat et d’un dessert lorsque l’on n’a aucun revenu, c’est aujourd’hui possible à deux pas de la gare SNCF de Metz, rue Clovis, dans le restaurant social de la Fondation, ouvert du lundi au vendredi de 12H30 à 14H30.
Pour un prix très modique, le self propose désormais 3 entrées, 2 plats chauds, plusieurs fromages et 3 desserts à chaque service, l’ensemble étant préparé par un prestataire extérieur en liaison avec un établissement ou service d’aide par le travail (ESAT).
Jeunes de moins de 25 ans sans revenu, couple, femmes seules ou encore personnes en errance avec des animaux, tels sont les publics prioritaires de cette nouvelle structure qui répond à un besoin local de plus en plus important. 48 places assises sont disponibles quotidiennement et devraient être rapidement occupées, le restaurant social de la Fondation étant le seul sur la région à accueillir ces différents publics en grande difficulté.
Les travaux d’aménagement du restaurant, jouxtant la Boutique Solidarité de la Fondation, ont pris plus d’un an ; deux artistes, JonOne et Emilie, ont décoré la salle de restauration.
La structure sera inaugurée officiellement le mercredi 17 octobre prochain, à l’occasion de la Journée Mondiale du Refus de la Misère.

Source : http://www.fondationabbepierre.org/index.php?id=716

Mon pôte âgé : des jardins solidaires qui associent enfants et séniors

Mon pôte agé jardin solidaire

Le Président de l’Uruguay fait don de 90% de son salaire

Article de Express.be du 2-05-12
L’article dans son contexte : cliquez ici

Issu d’une famille de fermiers et ancien guérillero des Tupamaros, le président de l’Uruguay, José Mujica, alias Pepe Mujica, n’a pas renié ses origines sociales et ses convictions d’homme du peuple. Malgré son accession au pouvoir en 2010, il continue de vivre dans le cadre buccolique de sa ferme de Rincòn del Cerro avec sa emme, la sénatrice du Mouvement de participation populaire, Lucia Topolanski, et leur chienne.

Mujica fait don de 90% de son salaire à des organismes d’aide sociale, à des ASBL, à son parti Frente Amplio ou encore à des ONG. Le président de l’Uruguay reçoit environ 250.000 pesos uruguayens par mois, soit 9.500 euros, pour sa charge de chef de l’Etat, mais il ne perçoit réellement de ceux-ci que 20.000 pesos, ce qui équivaut à 760 euros.

Pepe Mujica n’a de cesse de répéter qu’avec cette somme, il peut aisément subsister et que c’est un impératif car d’autres Uruguayens vivent avec beaucoup moins. Pour ses déplacements officiels, pas de voiture de luxe, une simple Chevrolet Corsa fait l’affaire. Avant, à la fin de la dictature, Mujica, alors député, avait pour habitude de se déplacer en Vespa.

Pepe Mujica ne se soucie guère du protocole de la fonction présidentielle. Dernier exemple en date, sa sortie dans le quartier Paso de la Arena à la recherche d’un article pour sa salle de bains. Ce jour-là, le président, chaussé d’espadrilles et vêtu d’un training, fit son acquisition puis se joignit spontanément à l’invitation d’un groupe de jeunes du quartiers, membres du club de football Huracàn. De retour à sa ferme, protégée par un cordon de police sommaire, Mujica reprit ses travaux de culture.

Selon sa dernière déclaration présentée au Conseil de Transparence et Ethique Publique, Mujica ne possède qu’une Volkswagen Fusca de 1987 estimée à 1.945 dollars. Il ne détient ni compte en banque ni dettes. La ferme est au nom de sa femme, la première dame Lucia Topolanski, qui fait elle aussi don d’une partie de son salaire. Aujourd’hui âgé de 76 ans, le président affirme que son ambition à la suite de son mandat est de se reposer dans sa ferme, au milieu de la nature, avec sa femme et sa chienne.

Lecciones de libertad

Article de Community Forge

Les bidonvilles sont les zones les plus peuplées au Kenya et les prévisions démographiques laissent entrevoir le doublement de la population d’ici dix ans. Dans ces bidonvilles où la collecte municipale des ordures est très déficiente, voire inexistante, les ordures s’accumulent jusqu’à des niveaux dangereux pour la population comme pour l’environnement. Cependant, ces bidonvilles offrent également des logements peu onéreux et des opportunités pour s’en sortir financièrement, par exemple grâce à la création de Chamas par des groupes de femmes. Ces Chamas fonctionnent par le biais de sommes mensuelles que chaque membre dépose sur un compte bancaire commun. Les membres empruntent ensuite à tour de rôle la totalité de la somme. Ce système propose ainsi un mécanisme d’épargne et de crédit important.

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Article du Figaro du 19-09-12
L’article dans son contexte : cliquez ici.

Ces nouveaux donateurs portent à 92 le total des milliardaires qui ont rejoint l’initiative « The Giving Pledge« , lancée en 2010 par Bill Gates et l’investisseur Warren Buffet.

Onze milliardaires ont ajouté mardi leurs noms à la liste de ceux qui, à l’appel de Bill Gates et de Warren Buffet, ont accepté de donner la moitié de leur fortune à des oeuvres de charité. Parmi les nouveaux membres de ce club figurent le directeur général du loueur de vidéos sur Internet Netflix, Reed Hastings, le cofondateur d’Intel Gordon Moore, ou Charles Bronfman, l’ex-patron du groupe canadien de spiritueux Seagram. Ces nouveaux signataires portent à 92 le total des milliardaires qui ont accepté de rejoindre l’initiative « The Giving Pledge » (promesse de donation) lancée en 2010 par le cofondateur de Microsoft et le patron de Berkshire Hataway, alors les deux Américains les plus riches.

A l’époque, les deux philanthropes ont annoncé leur intention de convaincre leurs pairs millionnaires et milliardaires du monde entier de donner, comme eux, la moitié de leur fortune à des organisations caritatives. Depuis, le groupe de ces donateurs compte dans ses rangs le fondateur de CNN, Ted Turner, le maire de New York et fondateur de l’agence d’informations financières qui porte son nom, Michael Bloomberg, le réalisateur George Lucas, le cofondateur d’Oracle, Larry Ellison, ou encore celui de Facebook, Mark Zuckerberg. Si Bill Gates et Warren Buffet ont pris leurs bâtons de pèlerins pour rallier leurs homologues en Chine ou en Inde, leur élan de charité n’a pas fait recette dans ces pays émergents. A ce jour, la liste des donateurs du mouvement « The Giving Pledge«  compte toujours une majorité d’Américains.

L’un des nouveaux donateurs, Peter Lewis, président de l’assureur Progressive Insurance, a indiqué dans sa lettre de promesse qu’il ferait des donations visant à « promouvoir la démocratie, une participation civique large« , en soutenant des groupes de réflexion, de la formation des fonctionnaires, du journalisme d’investigation, entre autres. Il a ajouté qu’il donnerait des fonds dans un autre domaine « tabou » : les « lois dépassées et inefficaces de notre pays sur la marijuana« , qui empêchent notamment leur utilisation médicale contre la douleur. Charles Bronfman a quant à lui affirmé dans sa lettre que la philanthropie faisait partie de « l’ADN de sa famille » et que ses parents étaient des membres actifs d’organisations caritatives juives, québécoises ou canadiennes.

Une nouvelle initiative de partage et de cocréation.

L’action des incroyables comestibles est une initiative citoyenne ouverte à tous !

Voici une nouvelle initiative qui peut prendre de l’envergure grâce à un changement de regard et de comportement. Il s’agit de faire le choix de s’engager dans un processus de co-création joyeux, librement consenti où l’on décide de vivre l’expérience ici et maintenant de l’abondance partagée .Ceci se met en place dans une dynamique de co-responsabilité de femmes et d’hommes libres sur Terre, dans le respect mutuel, l’entraide et la bienveillance. C’est très simple et accessible à chacun. Cela ne demande aucun moyen particulier.

Voici une proposition de méthode en 5 étapes, réalisable en un temps très court :

Étape 1 : on constitue une équipe locale avec d’autres familles pour initialiser l’action à plusieurs. Mais, on peut aussi commencer par se lancer seul si on ne trouve personne d’autre dans sa commune. Vous serez vite rejoints par de plus en plus de volontaires connus ou inconnus qui se reconnaitront dans l’expérience et qui proposeront de participer à vos côtés ;

Étape 2 : chaque membre du groupe prend une bêche de jardinier en main et va poser, avec les autres, devant la pancarte de la commune, en tenant le visuel « Incroyables Comestible France » ,pour donner de la force au mouvement global et enraciner l’action sur votre territoire. Vous pouvez aussi ajouter la pancarte « Nourriture à partager », cela donnera une portée plus grande encore au message. Soyez souriants, joyeux et spontanés. Mettez en offrande devant vous quelques fruits et légumes qui marqueront votre engagement dans la démarche d’abondance partagée des incroyables comestibles pour tous. Associez les enfants si c’est possible. Ils sont le devenir de l’humanité,et en même temps nos guides dans cette nouvelle ère de rapports aimants spontanés et sincères. Vous pouvez aussi associer vos amis musiciens si le cœur vous en dit, c’est vraiment l’entrée dans une nouvelle expérience joyeuse. Faites plusieurs clichés, sélectionnez les meilleurs et envoyez-les à François pour la France ou à Estelle, à Todmorden, pour l’Angleterre et l’international. Les coordonnées se trouvent sur la page contact, ICI pour la France, et pour l’Angleterre. Dès cette étape 2, vous êtes déjà entrés dans cette magnifique vague de partage planétaire « Incredible Edible » ;

Étape 3 : chaque foyer réalise une plantation sur son espace privé, en bordure “non fermée” de l’espace public et prend des photos de l’installation avec la mention “nourriture à partager” des « incroyables Comestibles » ;

Étape 4 : l’équipe crée son blog et met les photos en ligne avec des commentaires montrant comme c’est simple, joyeux et convivial. Penser à organiser des petits repas de fête, associer les voisins et vos proches, faites des petits clips vidéos à mettre en ligne sur internet. Mettez bien en évidence votre photo de groupe (ou vous seul) devant la pancarte de la commune avec le visuel des Incroyables Comestibles ;

Étape 5 : une fois l’action d’initialisation démarrée et devenue une nouvelle réalité locale, on passe à la “pollinisation” du territoire, de proche en proche, pour gagner l’espace public, comme à Todmorden. On sensibilise ses voisins des autres rues pour se lancer à leur tour, puis on tente de rallier le conseil municipal pour ouvrir l’espace public à la co-création du partage des Incroyables Comestibles,. Nos amis anglais ont réussi à le faire en 4 ans et ainsi devenir une collectivité auto-suffisante pour son alimentation locale, simplement par la reconnexion des habitants les uns aux autres, en lien avec la terre. Avec l’expérience acquise à Todmorden, il est possible à présent, pour toute collectivité qui désire s’engager dans le processus d’auto-suffisance alimentaire du territoire, de le réaliser en 4 mois, si c’est le désir de sa population.

De proche en proche, nous devenons les jardiniers d’abondance de notre lieu de vie, celui du partage et de la bienveillance envers chacun. Nous préviendrons aussitôt nos cousins anglais de votre action locale. Une balise sera alors plantée sur la Carte Mondiale (qui se trouve ICI) avec un hyperlien actif en direction de votre blog.

Ainsi, avec cette méthode, en moins de deux heures, vous êtes passés d’une action de partage de niveau local de votre commune, à une immense vague de reconnexion consciente au niveau planétaire. Vous n’êtes définitivement plus seuls. Par cet acte libre et délibérément consenti, vous avez effectué un retournement conscient de votre vie, vous avez changé de regard et avez retrouvé votre souveraineté en tant que femme ou homme, co-créateur libre de votre Nouvelle Réalité.

Le temps à peine, que nous écrivions ces pages, nos amis de Todmorden nous signalent que les incroyables comestibles sont déjà arrivés au Japon et qu’il essaiment partout aussi vite que les bourgeons des arbres éclosent lorsque la sève du printemps est arrivée à son terme. Vous voulez le voir pour le croire ? Il vous suffit de cliquer sur le lien ICI.

Suite de l’article sur : http://www.incredible-edible-freland.fr/?page_id=56

“Il n’y a pas de politique à l’hôpital, juste des personnes,” dit le médecin d’Hadassah qui a sauvé Suleiman, 3 ans, de Gaza, d’une paralysie à vie.

Des chirurgiens dans un bloc opératoire (Crédit : Nati ShohaT/Flash 90)

Un garçon palestinien de trois ans de la bande de Gaza a été sauvé d’une paralysie permanente par un médecin israélien qui a mené une procédure complexe et innovante pour enlever une tumeur entourée autour de la moelle épinière de l’enfant, a annoncé un article du site d’information Walla.

Suleiman a développé une tumeur extrêmement rare dans la poitrine qui a entraîné la malformation de sa colonne vertébrale, et a déclenché chez lui une maladie respiratoire, selon Walla.

Bien que bénigne, la tumeur engendrait une pression sur sa colonne vertébrale au niveau du cou, restreignant sévèrement ses mouvements et posant un sérieux risque de dommage nerveux et de paralysie dans le futur.

Le Dr Josh Schroeder, chirurgien orthopédique expérimenté du centre médical Hadassah d’Ein Kerem, a déclaré que la chirurgie de six heures faisait partie des premières mondiales.

« C’était une procédure rare non seulement au niveau national, mais aussi au niveau mondial », a déclaré mardi Schroeder au site d’informations. « Il n’y a presque pas de documentation sur ce genre de réparation quelque part dans le monde. »

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Aux Bermudes, un homme passe 6 heures par jour dans un carrefour pour dire aux passants qu’il les aime.

Free Hughs à Paris

 

 

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